Jour 3: No photo; ATH>HER; bien arrivés en Crète

Aujourd’hui, comme prévu, rien à raconter… Si ce n’est…

Départ en fin de matinée de l’hôtel, métro vers l’aéroport (40 min, super facile, en fait!), avion (50 min), voiture de location (presque 3h), arrivée à Platonias et installation… Le décor a (beaucoup) changé; c’est plus « rustique » 🙂 et la majorité des commerces est encore fermée.

La conduite « à la crétoise » a de quoi surprendre: l’autoroute (en fait, une route à deux bandes) inclut les deux bandes d’arrêt d’urgence pour la circulation… Ce soir, on a super bien mais beaucoup trop mangé! Note pour plus tard: c’est comme aux États-Unis, on ne prend pas d’entrée! Nous avons reçu du raki et un dessert local (cake baignant dans un sirop à la fleur d’oranger), Ben a bu le raki et Marie a mangé le dessert… Qui l’eut cru ?

Programme pour demain: encore à déterminer 🙂

9 thoughts on “Jour 3: No photo; ATH>HER; bien arrivés en Crète

  1. Pour Ben l’alcool et pour Marie la sucrerie. Oh le cliché ! Non: pour montrer une image d’équité sexuelle aux clients du resto, Marie a goûté au raki de Ben. (niveau: medium)

  2. La conduite automobile et le réseau routier ne semblent donc pas avoir évolué depuis mon dernier séjour en ces contrées:1998.
    Une astuce: sur « l’autoroute », viser la double bande blanche centrale est très pratique pour se caler entre le véhicule que l’on dépasse (et dont le train droit empiète sur le bas-côté ) et celui qui vient fond de cale en sens inverse (et dont le train droit empiète sur l’autre bas-côté).
    Bonne route.
    Tadam… tadaaam… doum doum doum doum doum

    • Et voici maintenant la 5e symphonie de Beethoven, par le même artiste routier:
      tadatadaaam tadatadaam tadatadoum tadatadoum tadata doum tadatadoum tadatadoum tadata doum tadatada doum doum doum doum….

      • (Je n’ai mis que le début. C’est un petit peu laborieux- voire très chiant – et je ne suis pas sûr que beaucoup de lecteurs liront ne fût-ce que le premier mouvement. Devant si peu de reconnaissance, j’anticipe, et j’abrège.)

    • Merci Jojo. Une seule adresse utile pour notre Ben, donc: celle de Ioannis Tzanidakis à Héraklion. Je dis ça parce qu’il ne lit pas le grec. Il le fait lire à son smartphone, mais j’ai essayé et le problème c’est que l’application traduit tout de suite en belge. Ioannis Tzanidakis donne Jan Vaneerdeckens. Il va encore s’étonner que les gens rigolent quand il leur montre son appareil.

  3. Pour parer à tous les problèmes de traduction, de contacts avec les autochtones et de radioguidages difficiles, je conseille la nouvelle App qui vient de sortir et que je me suis procurée en avant-première. Ça s’appelle « Xéno-phone », disponible sur HackStore et Grogle Plaie.
    Elle permet de discuter en direct avec les plus grands personnages de l’Antiquité. C’est génial.
    Chaque personnage a son numéro privé. Pour Ulysse, c’est le 31, par exemple.
    Certains sont très demandés. Pour Aristote on a six numéros.
    Vu que vous êtes en Crète, j’ai voulu téléphoner à Icare. Il m’a brièvement répondu quelques considérations météorologiques au sujet de soleil qu’il aimait tant, puis j’ai juste encore entendu comme un grand « plouf » et ça a coupé. Quelques minutes plus tard, Ariane m’a passé un coup de fil pour excuser son collègue: malheureusement, il ne sera plus disponible.
    Mais que dirai-je à Homère, si’ m’sonne?

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