De mon côté, j’ai du être trop optimiste quant à la météo californienne: je suis malade ! Rien de grave mais les voies respiratoires sont douloureuses et aussi encombrées que les freeways autour de Los Angeles (ou de Chicago, d’ailleurs).

Donc ce matin, pendant que Marie prenait son pied en face de l’hôtel avec plein de dames plus âgées qu’elle, je suis resté sagement à l’intérieur… jusqu’au moment où je n’ai plus supporté de voir ce beau soleil à l’extérieur.

En effet, il faisait superbe… et chaud en ce début d’après-midi. J’ai été au centre commercial voisin pour faire du repérage.

Vers 1:15pm, Marie et moi nous sommes retrouvés et sommes partis manger puis faire les achats repérés.

Juste après cela, Marie est retournée auprès de ses nouvelles copines. Perso, un épisode de Billions a constitué le début de mon après-midi.

Vers 4:30pm, on a mis le cap sur le centre-ville, que nous atteignons après un peu moins d’une heure (au lieu des 25 minutes prévues pas le gps). Le jour tombe… On se promène… On aime bien l’ambiance et l’architecture de cette ville! Mais quel changement de température ! Vers 6:00pm, il ne faisait plus que 5°C (alors que le thermomètre a dépassé les 20°C).

On a mangé dans un resto / sports bar / club latino: délicieux mais quel boucan (on est vieux!). Par contre, un fait nous a fort étonnés: on est arrivé vers 8:00pm et un peu avant 9:00pm, l’endroit s’est presque totalement vidé de ses clients!!! C’est un peu tôt, non?

Bref, pour ma part, ce fut une journée qui a mal commencé mais qui s’est terminée au cœur dune ville que nous apprécions…

Benoît a été super prévoyant. Il a réservé un hôtel avec accès direct à l’exposition de patchworks, ici à Chicago.

J’emprunte donc la passerelle qui relie l’hôtel au salon des expositions, j’achète mon billet (aucune file !) et je découvre les nombreux patchs exposés.

Il y a beaucoup de classiques, mais aussi des techniques plus modernes.

Il y en a que je préfère aux autres.

Une dizaine de patchworks que l’on ne peut pas photographier sont réalisés avec des ajouts de petits objets et papiers divers. C’est sympa mais ça fait plutôt « art contemporain ».

Et puis, il y a des choses qui me font rire comme un lama en peluche ou un marchand de chaussures pour coudre. (C’est sans doute une excuse comme une autre pour refiler un fond de stock moche…)

Un espace est réservé aux patchs anciens. Ils ont tous une histoire à raconter.

Bref, j’ai passé un super bon moment !

Par rapport à l’exposition de Houston, cela représente la moitié en nombre de patchworks et le quart de commerçants. C’est à taille plus humaine et cela peut se visiter en une seule journée.

Notre expérience de la circulation vers Chicago et surtout le stationnement nous ont rendus enclins à préférer les transports en commun. C’est donc en train/métro que nous nous rendons au Musée d’Art Contemporain. Deux ou trois œuvres attirent notre attention (dont une, odorante!); on passe un bon moment!

Sur le conseil de Thierry (qu’il soit ici remercié jusqu’à la 6ème génération), nous allons manger une deep dish pizza chez Giordano’s. Chance, il y en a un tout près du musée… Délicieux (cheesy à souhait) mais super stoempant!

On reprend bus et métro pour rejoindre The 606, la Highline locale, une ancienne voie de chemin de fer reconvertie en parcours de course, rencontre, promenade. C’était très sympa mais il a commencé à pleuvoir… fort!

On rejoint donc le centre-ville en bus. On traverse toutes sortes de quartiers comme ceux des séries que l’on aime (Shameless, Boss, The Chi, …). On finit par arriver au Navy Pier; les buildings ont la tête dans les nuages…

Il commence à se faire tard; on se rentre et on passe au 7-Eleven… Voici mon repas de ce soir:

Je termine donc ce séjour américain avec de la crasse bouffe 🙂 (et le premier qui fait une bonne blague sur le nom de mon plat principal gagne quelque chose!)

On repart demain après-midi mais on n’a rien prévu pour demain matin. Cet article risque donc bien d’être le dernier…

Merci pour votre participation active à ce blog et à très bientôt.