Jour 2: Parthénon, Temple de Zeus olympien, Stade olympique et pas EMTS

On commence notre journée par un petit déj olympien. On se dirige ensuite vers le Parthénon. On a regardé avant de partir; on n’a pas trouvé de moyen d’acquérir de billets en ligne; on achètera donc sur place… C’était sans compter les 2 heures de file devant l’entrée principale du Parthénon 🙁 Nous rebroussons chemin en tentant de rejoindre notre deuxième objectif de la journée: le Musée d’art contemporain d’Athènes. C’est une fois sur place que nous sommes confrontés à la dure réalité économique actuelle du pays: le bâtiment qui doit recevoir les expos est (plus ou moins) prêt mais il ne peut ouvrir faute de moyens financiers… peut-être en été nous précise le gardien du « chantier » 🙁 Ce qui est un peu fou (surtout très dommage), c’est qu’aucune info concernant cette fermeture ne figure sur le site web du musée…

On se dit qu’on va tenter notre chance dans un des 6 autres sites accessibles avec le ticket Parthénon pour acheter le précieux sésame et couper la file… et ça a marché! Sur place, on ne peut que constater la grandeur du site sans pouvoir toutefois en savourer toutes les finesses; notre inculture nous limite dans l’appréciation entière de ce qui nous entoure. Pas grave, on kiffe quand même! Il y a grave du monde: on n’ose pas imaginer ce que cela doit être sous le cagnard avec encore plus de gens 🙁

D’en haut, on aperçoit le temple de Zeus olympien et le stade olympique (plus précisément, le stade panathénaïque) et on se dit que ce n’est pas très loin… De fait, ce n’est pas très loin!

Petit chaperon rouge et Petit hérisson se sont hissé, ex-æquo, sur la première marche du podium 🙂

Nous faisons ensuite route vers notre désormais habituelle étape au HRC, afin d’acheter le t-shirt local pour Manu. On en profite pour manger (« à la grecque », cette fois; il est 15:30).

En sortant, on se dit que, peut-être, le Musée d’art contemporain a alors gardé une partie de sa collection dans ses « anciens » murs… mais non, l’endroit est à présent un lieu multi-culturel / créatif / etc. mais pas d’expos…

On rentre à l’hôtel; je rédige le blog de la journée; on sirote une boisson au lounge; on va se faire un ou deux épisodes (parce que, là maintenant, on a un peu mal aux pieds). Ce soir, comme les possibilités sont quand même limitées à proximité (de la mer), on retourne vers le Pirée pour notre souper…

[EDIT] Finalement, non.. on est resté au lounge puis on s’est écroulé, probablement à cause du soleil (je crois qu’on a quelques coups de soleil, d’ailleurs). Finalement, c’était une excellente journée, très remplie, chaude et très ensoleillée 🙂

Demain sera une journée sans grand intérêt puisque nous ne ferons que transiter vers la Crète. Nous prenons notre vol vers 14:00, arrivons à Heraklion vers 15:00, puis dans les environs de Chania (La Cannée) en fin d’après-midi.

10 thoughts on “Jour 2: Parthénon, Temple de Zeus olympien, Stade olympique et pas EMTS

  1. Que de déconvenues ! Quelle tristesse ! Et le Pirée à venir… (Note pour les prochains jours: continuer à passer sur le blog vers 17h30, avant le repas – j’habite en Flandre – pour anticiper les feintes de Mai)

    • A te lire j’ai de nouveau l’impression de me plaindre (trop). On a passé une excellente journée et les trajets entre les différents objectifs étaient très chouettes 🙂 On a beaucoup vu et « senti » la ville 🙂

  2. Ce que vous dites : « On commence notre journée par un petit déj olympien. »
    Ce que vous ne dites pas : En fait, vous avez traîné au lit et avalé votre petit déj. en 4ème vitesse.
    Ce que vous dites : « Ce qui est un peu fou, c’est qu’aucune info concernant cette fermeture ne figure sur le site web du musée… »
    Ce que vous ne dites pas : En allant trop vite, vous avez confondu avec le site web du musée contemporain de Crète, à RETHYMNON, que vous comptez aussi aller visiter !
    Ce que vous dites : « On se dit qu’on va tenter notre chance dans un des 6 autres sites accessibles avec le ticket Parthénon pour acheter le précieux sésame et couper la file… et ça a marché »
    Ce que vous ne dites pas : C’est que vous avez utilisé la bonne vieille méthode du bakchich avec 10 billets de 100 (faux) € qui traînaient sur le comptoir de votre hôtel et que vous avez « malencontreusement » emportés « par erreur » ….
    Bref, il est bon, avec vous, de garder son esprit critique.

    Une question à l’équipe : sur le podium du stade olympique, que viennent faire des chiffres romains dans un lieu typiquement grec ?

      • C’est juste, les Grecs comptaient avec leurs lettres; on aurait dû avoir un alpha, un bêta et un gamma. Mais bon, ce stade n’a pas grand chose d’antique, hein. C’est quasi de l’art contemporain. Je ne sais pas si ça console Ben, mais c’est comme ça. Au fait, Ben, je ne dis pas que tu te plains (oui, je sais, ça fait référence à un truc plus haut mais j’ai la flemme de remonter sur l’écran) mais je trouve que vous avez eu beaucoup de tuiles. Auraient-ils dû prévenir de la fermeture sur le site de leur Musée d’Art Contemporain ? La réponse à mes yeux est non. C’est un peu comme si, durant l’année scolaire, il y avait marqué sur buchau.be: « Nous ne sommes pas en voyage, désolés ». Les gens n’ont qu’à se renseigner.

  3. [quote= »Ben »]C’était sans compter les 2 heures de file devant l’entrée principale du Parthénon [/quote]
    En même temps, le mot le dit: « Partez!! Non!!! »

    Mais parfois, j’ai honte.

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