Year 2, Day 2: De Birchington à Ramsgate

EX-CEL-LENTE journée! Bilan: un coup de soleil du tonnerre (Aïe!)

On commence par refaire notre trajet à vélo de l’an dernier entre Birchington (le plus grand village du Kent) et Margate (siège du Turner Contemporary): les nuées de mouches sont encore au rendez-vous! mais le soleil et une température un peu fraiche aussi (on ne se rend pas compte qu’on transpire et que le soleil tape!). On profite à nouveau des cabines colorées sur la « digue »; il y n’y a pas encore de monde… la saison commence le 1er mai!

On re-visite le musée. Cette fois, l’expo nous plait plus… Beaucoup de tissu(s): Marie accroche (et j’aime bien aussi).

On fait le trajet en sens inverse et on mange à Birchington… mais pas la même chose que la dernière fois: soyons fous! Le petit pot bleu avec du vert dedans, c’est de la purée de petits pois 😉

On complète ensuite la boucle vers Ramsgate via Broadstairs, en voiture, en s’arrêtant à chaque point d’intérêt signalé sur la carte qu’un touriste distrait avait oublié au musée. Merci Monsieur le/Madame la touriste! Falaises & plages, petit fortin, fête foraine, banc accueillant, ports ont ponctué la suite de notre après-midi.

Ramsgate n’est pas indispensable si vous envisagez un trajet similaire: pas de charme, contrairement à Margate ou Broadstairs

On termine la journée chez Jamie Oliver, dans son Italian restaurant de Bluewater, un gigantesque shopping (je crois que c’est le plus grand qu’on ait jamais vu jusqu’à présent); on a super bien mangé! On recommande…

On a vraiment bien profité de cette très belle journée! et Marie « gère à mort » pour la conduite à gauche 🙂

5 réflexions au sujet de « Year 2, Day 2: De Birchington à Ramsgate »

  1. Juste une petite réflexion, si vous me le permettez. Et dans la langue de Shakespeare, que je pratique à l’occasion, ce sera mieux. Lisez plutôt et méditez :

     » A lot of my work is juste repetitive activity. I think that calming and free. » Interresting, not ? C’est du Kiki Smith tout craché.

    1. Dans la droite ligne de la pensée de Schopenhauer. Il faut relire les cinq derniers volumes de ses oeuvres complètes, pour bien comprendre. C’est essentiellement (« im wesentlichen ») et ontologiquement post-kantien dans sa subjectivité.
      Et quel dommage qu’il ait fait si frais aujourd’hui.

  2. « Marie « gère à mort » pour la conduite à gauche  »
    Un truc qui, de fil en aiguille, m’inquiète quand même : qui tenait la machine à coudre alors dans les ourlets difficiles et les virages en épingles?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *